mardi 23 avril 2013

To Deeply Implement theScientific Coutlook on Development in Religious Administration Work


Texte de Alex Renaud

Xiaowen, Ye. «To Deeply Implement theScientific Coutlook on Development in Religious Administration Work». 2008

Ye Xiaowen est le directeur du bureau des affaires religieuses, ou administration d’état des affaires religieuses, sous le conseil d’état de Chine. Il est souvent reconnu pour avoir eu une participation active concernant le bannissement du Falun Gong ainsi que pour avoir choisit le onzième Panchen Lama. Il a aussi essayé de réduire l’influence du quatorzième Dalai Lama.

Le texte est en fait trois discours distinct que Ye Xiaowen à fait. Dans son premier discours, il commence par expliquer un des grands fondements de sa philosophie, c'est-à-dire de prendre le peuple comme base. Il explique qu’en fait, il ne faut pas voir la religion comme profondément négative. La religion a des points négatifs oui, mais aussi des points positifs. Il spécifie que nous devrions regarder la religion d’un côté positif  pour pouvoir mettre l’emphase sur ceux-ci et ainsi augmenter l’image de la religion. Cette manœuvre est dans le but de se rapprocher de son but principal étant de prendre les masses et les masses religieuses comme base. À un point dans son discours, Ye Xiaowen pointe avec des exemples que ceux ayant poussés à la révolution socialiste se sont servis de la religion pour contrôler les masses. Il croit que justement, à la place d’un contrôle, il serait préférable pour les deux partis de simplement travailler ensemble.
Le deuxième discours porte plus sur la compréhension des autorités, l’harmonie sociale et les temps de guerre. Il commence par dire que pour prendre les gens comme la base, il faut porter plus grande valeur aux masses croyantes. Il enchaine en citant Hu, pour démontrer que l’harmonie sociale ainsi que la balance sont dut à la compréhension au niveau religieux et au socialisme. Il continu par dire que la religion à changé au travers des années et s’est complexifiée. Suite à cela, Ye Xiaowen commence à parler des temps de guerre.
Il commence par dire que internationalement comme en Chine, les conflits d’après guerre dut en parti à la religion font rage et que dans ces temps de crise, la population est plus souvent porter à se tourner vers la religion pour disperser la confusion.
Le troisième discours de Ye Xiaowen porte sur le lien entre l’état et la religion. Il commence par expliquer que pour prendre les masses comme base, ils doivent et que l’on doit travailler à changer la religion de l’intérieur. En gros, il poursuit en expliquant que la plupart des gens mondialement croient en une religion et que l’on doit respecter cela. Même en Chine, il y a cent milles croyants. C’est justement pourquoi nous devons respecter, protéger la liberté de religion et montrer que pour optimiser la religion, l’état et la religion doivent travailler de concert. Donc, nous devons créer un système légal d’éducation pour les masses religieuses sur le fait que la religion, pour fonctionner à son maximum, doit se soumettre à des régulations et éviter toutes formes d’illégalité. Suite à cela, dans l’éducation de la religion, l’état teintera cette éducation religieuse de nationalisme et cela va pouvoir aider l’état à parler de religion et de nationalisme. Du même coup, l’image de la religion serait grandement augmentée. En plus, le parti pourrait grandement aider les masses religieuses dans la vie de tous les jours et des liens plus serrés entre l’état et la religion seraient créés. Il finit par essayer de faire comprendre que pour fortifier les liens entre l’état et la religion et ainsi, s’attirer leur sympathie et leur coopération. Donc, l’état va changer ses priorités vers l’administration des services.
Ces discours démontrent l’intérêt que le gouvernement porte sur les masses religieuses ainsi que les tentatives de gérer le problème. La façon dont le gouvernement cherche à gérer le problème est de changer la religion de l’intérieur en la tachant de nationalisme et en éduquant les masses religieuses sur les bienfaits de la coopération avec l’état. 

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