Blogue du cours HST2621, "Les religions de la Chine moderne," donné la session de l'hiver, 2012, à l'Université de Montréal.
dimanche 29 janvier 2012
Belief in Control: Regulation of Religion in China
Texte de Sandra Bazelais
Belief in Control: Regulation of Religion in China
Pitman B. Potter est directeur de l’Institut de recherche asiatique de University of British Columbia. Il est aussi professeur de droit et directeur des études légales chinoises à la faculté de droit de UBC.
La Chine a subit beaucoup de contrôle social. Celle de la religion était imposer par des politiques du CCP (Chinese Communist Party) qui se divisait en plusieurs branches dont chacun se préoccupait d’un secte particulier en dictant des lois et sous des contrôles administratives. Nous parlons ici de contrôle d’activité religieuse, suppression de campagne, etc.
Le parti politique CCP reconnaissant l’existence de cinq religions : Bouddhisme, Taoïsme, Islam, Christianisme et le Protestantisme. Les religions populaires, cultes ou autres, étaient en dehors de la limite de protection. Leur but premier était de renforcer son contrôle en accord avec la loi et en guidant activant celle-ci pour qu’elle puisse s’adapter à une société socialiste. Toutes activités religieuses qui s’opposaient au Parti et au système socialiste, en ébranlent l’unification du pays, la stabilité sociale, étaient sanctionnées. Bien qu’un contrôle accru interne fût surveillé, il n’en était pas moins de ceux qui venaient de l’extérieur voir de pays étrangers comme les États-Unis. La religion se devait de s’adapter à la société dominante et conduire ses activités dans un cercle déterminé par la loi et convenir au progrès social et culturel. Toute entrave de ces principes par les religions et les pratiquants se voyant punir par le gouvernement.
Pour certains, comme le Directeur Ye et Jiang Zemin, la clé pour gérer les activités des religions populaire seraient d’éduquer les jeunes générations à l’histoire et l’athéisme plutôt que la contrainte et répression des pratiquants. La liberté de croire ou non à une religion, de ne pas intervenir dans les activités religieuses, séparer la politique de la religion et l’interdépendance entre ce qui est juste et obligatoire dans les pratiques religieuses. Le tout serait donc possible en adaptant la religion et le socialisme. Qu’il fallait s’abstenir d’utiliser la force pour éliminer la religion et accepter le fait qu’elle serait une part intégrale de la société Chinoise et cela, pour un long moment. Ainsi qu’elle avait des bienfaits à amener à la société.
Bien qu’il existe des clauses constitutionnelles sur la liberté de religion, elle était garantie par le respect de loi et des contrôles, mais plus précisément par la soumission à des politiques et des décrets des partis de l’état. Les académies religieuses se devaient de se conformer au politique du CCP et de soumettre à la direction du Parti, leur programme et l’acceptation du personnel devait être approuvée par le Bureau des affaires religieuses. Le recrutement de croyant parmi les étudiants des écoles primaires et secondaires considérés illégal. L’enrôlement de jeune étudiant et les voyage à l’étranger pour participer à des séminaires religieux faisait part du lot. Le contrôle se faisait sentir aussi envers les étrangers comme par exemple, les missionnaires. Les chrétiens évangéliques des États-Unis et de la Corée étaient considérées comme des exemples voulant interférer avec l’indépendance de la Chine et son autonomie à gérer ces affaires religieuses, ainsi que de construire une anti-patrie et une force anti-gouvernementale. Le christianisme vient donc à être considéré comme une menace surtout que sa juridiction venait du Vatican qui empêchait son contrôle total. La radiodiffusion, les informations internet et les livres ainsi que les matériaux importés était aussi sujet à inspection et confiscation.
Il eut des attaques contre des sectes illégaux comme le mouvement falun gong qui n’était pas considérer comme une religion.
La politique gouvernemental de la Chine et ses pratiques sur la religion nous donne beaucoup d’exemples de dilemmes dans la régulation des relations sociaux, mais n’oublions pas qu’elle ne fut pas la première qu’à du passer par des restrictions pour avoir un contrôle sur son peuple et assurer une unification de celle-ci. Était-ce la solution idéale, ça c’est un autre sujet à débattre.
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