dimanche 22 janvier 2012

The Late Qing Religious Landscape

Texte de Catherine Durocher



Goossaert et Palmer, « The Religious Question in Modern China, ch 1.,The Late Qing Religious Landscape », 2011, The University Of Chicago Press,Chicago and London.


David A. Palmer est un chercheur et directeur à Hong Kong Centre of the Ecole française d’Extrême- Orient dans the Institute of Chinese Studies at the Chinese. Vincent Goossaert est un directeur député de Groupe sociétés, religions, laïcités au Centre national de recherche scientifique à Paris. Il est aussi un professeur visiteur à Institute of Chinese Studies, Chinese University of Hong Kong. 
Dans le chapitre 1 de The Religious Question in Modern China, les auteurs parlent de l’histoire de la religion en étudiant l’équilibre dynamique et en privilégiant la structure des religions. Ils ont choisi la date de 1898 afin de basé ce chapitre. Ils utilisent une méthode livresque basée sur leurs propres recherches ainsi que celle d'autres chercheurs. En premier, les auteurs expliquent comment se présentait la religion chinoise à la fin de la dynastie Qing.


Les auteurs commencent par définir le concept de religion chinoise. Ils la définissent comme étant un système cohérent avec plusieurs hiérarchies et qui va au-delà des trois religions institutionnalisées. (Confucianisme, Taoïsme et Bouddhisme) La fonction principale des trois religions est de transmettre la tradition de la pratique religieuse et de servir la société. Il va sans dire que la pratique religieuse allait au-delà des trois principales religions. Ensuite, les auteurs expliquent comment l’état impérial de l’époque tardive de la dynastie Qing contrôlait le paysage religieux. 
En fait, le pouvoir impérial avait un lien avec la religion. L’empereur avait en théorie plein contrôle sur la religion. La politique du pouvoir impérial était fondée sur le projet de créer un ordre moral de société. Malgré certaines exceptions, il n’y avait pas assez de politique claire de contrôle pour que ça fonctionne. Les auteurs continuent en expliquant les critiques faites par l’élite de cette époque par rapport avec la religion. 
Le discours de l’élite était caractérisé par des plans de réforme ainsi qu’une attaque contre plusieurs piliers de la religion chinoise. Les auteurs font intervenir trois grands problèmes. Le premier est la mésentente pour le statut de la morale et l’autorité religieuse. Le deuxième est un conflit des classes social. Le dernier est un l’apparition d’un certain « anticléricalisme » soit le rejet de la religion institutionnalisé. Les auteurs finissent par expliquer les causes externes et internes de l’instabilité de la religion.
Ce qui est important de relevé dans cette dernière partie, c’est qu’il y a eu une série de chocs qui ont ébranlé la forme de la religion chinoise. Les auteurs déterminent que les tensions internes et externes ont causé un déséquilibre dans la structure même de la religion chinoise. Les auteurs terminent par déterminé que le contact avec l’Occident a été ce qui a amené un véritable changement.
Le texte est utile dans ce cours puisqu’elle permet une meilleure compréhension de la religion chinoise. En la mettant dans un cadre historique, il permet de nous montrer l’évolution et la composition du paysage religieux. Ça nous donne aussi une introduction afin de comprendre les religions en Chine d’aujourd’hui.

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