vendredi 14 septembre 2012

American Missionnaries and the Chinese Communists


Texte de Gabriel Leblanc

Canevas 3B

An unlikely Peace: American Missionnaries and the Chinese Communists. 1948-1950, par Nancy Bernkopf-Tucker, 1976, p.97-116

Cet extrait se situe dans la période de la fin de la seconde guerre mondiale en Chine. Le Parti Communiste Chinois (PCC) prit le pouvoir et la révolution ne se fit pas sans casse. Le but de cette analyse, annonce l’auteure, est de décrire la réalité à laquelle ont fait face les missionnaires lors du second renvoi généralisé des missions mais plus précisément l’impact que leur présence a pu avoir sur la Chine, les politiques et actions gouvernementales mises en œuvre. 

Suite à la première expulsion du Christianisme en sol Chinois, il y a eu une sorte de « tradition anti-missionnaire » Les groupes s,installlaient malgré tout, mais faisaient face à une résistance. L’attitude oficielle du PCC était de tolérance sous restrictions. Les missions étaient toutes gérées par des instances supérieures, et l,auteur nous informe sur le « Foreign Mission Conference », dont ses missions en chine bénéficiaient d’un cinquième de leur budget mondial, soit 6 567 056$. Près de la moitié de leurs missionnaires s,y trouvaient, soit 2 246 sur 4 992. Toujours en 1949, les avoirs des missions sous le joug du FMC comptaient pour plsu de 70 Millions de dollars, comptant 248 hôpitaux, 13 collèges plsu de 50 instituds de théologie,. Les YMCS supportaient le travail dans 40 centres urbains, et les terrains, propriétés des missions du FMC avaient une valeur impressionnante et toujours grandissante, énonce mme Tucker. Le nombre et la valeur exactes ne sont pas disponibles, les papiers officiels concernant les valeurs des terrains et des bâtisses ont été détruits par les japonais et les chinois. 

En avût 1948, les terres posédées par les communautés religieuses reprssentaient une telle superficie que les taxes leur revenait et le pcc ne pouvait se permettre cette perte de revenus ils ont infiltré des agents parmi les convertis afin de décourager les gens de se converti et des rumeurs ont été lancées sur des soi-disant corps armés « destinés à l’auto-protection ». De tous les missionnaires en sol chinous, les Catholiques payaient plus de taxes et leurs biens étaient saisis plus promptement. On dit que chez certaines communautés le Communisme était le mal en personne et que les citoyens en souffraient, alors que d’autres réalisaient que vue la situation le communisme était ce que la chine avait de mieux à offrir. N’ayant rien à voir avec le communisme répressif de Staline, son but était d,offrir du mieux au peuple. À l’opposé du gouvernement Kwomintang qui les précédait, il n,était pas corrompu et il allait de l,avant. 
Avant 1950 le PCC était tout d,abord tolérant envers les porpageurs de foi, mais l’animosité culturelle anti-missionnaire s,enflammait avec la révolution qui battait son plein. Le New-York Times rapporta que 96 missionnaires ont été troiuvés morts ou portés disparus avant que le parti communiste n,appelle à ce que les missionnaires ne soient pas attaqués. C’est en mars 1949 que le PCC déclare que les missionnaires ne seront protégés par l’armée Rouge que s’ils suivent les lois. Le gouvernement de Mao Tze-Tung avait un choix à faire à propos de la communauté Protestante. Il fallait l’éliminer ou vivre avec. On voyait cependant une franhe coopération entre les communistes et les religieux, l’armée Rouge demandant l,aide des missionnaires poru faire régner l,ordre dans les petits villages, et les hôpitaux religieux soignaient les soldats blessés. De ce travail main dans la main naquit l,article 5 en 1949 traitant de la liberté de religion. Étant tolérés par la vertu éthique d’ « utilité sociale » mais n,n ,étant pas dals le cœur des leaders, les missionnaires présents dans une chine fermée devaient voyaient leurs missions devoir vendre des bâtiments afin de réduire les coûts, et assurer un capital pour les payes, le licenciement étant impossible sous un régime communiste. 
Bien que le décret 5 ordonnait la librerté de religion en 1949, en e950 les missionnaires firent face ;a une nouvelle pression d’endoctrinnement communiste. EN effet, en Avril 1950, Chou-En-Lai, délégué du parti copmmuniste devait être le porte-paroles et médiateur poru pe PCC, transmetre les demandes et instructions de l’État comme quoi l,Église, sous l’autorité des lois de Chine devait faire la propagande au peuple sur les intentions dites « néfastes impérialistes des américains » camouflées sous les afissements de l,église. Le parti Communiste tolere encore le christianisme. Il craint que les impacts d,une religion organisée qui relaieraient le gouvernement en-dessous de la Puissance Ultime. Ils tolèrent, craignent, mais considèrent que de faire comme l’a faite la Russie auparavant, soit d,éradiquer u religion par la force, provoquerait des rébellions inutiles. 
On dénote que les personnes aux postes gouvernementaux étaient, pour plusieurs, dilletrés et inexpérimentés, ce qui explique leur peur face au Christianisme Américain, car ils les méprenaient avec des sectes aux rituels de clansm qui représenteraient effectivement alors une menace de renversement latente pour le parti Communiste. La guerre de Corée de 1950 a ravivé la haine anti-américaine, et bien que les missionnaires et les étrangers étaient interdits d,entrée en Chine depius le printemps, on voyait maintenant les hommes de foi être emprisonnés, expulsés ou exécutés publiquement. Il faut blâmer le PCC poru cette haine, jouant encore de propagande : à cause de la uerre de Corée les États-Unis ont approché leur flotte en préparatifs de riposte, « au cas-où » dirait-on , et la chine un peu chatouilleuse l,a perçu comme une « violation de la charte des Nations Unies » et associa abondemment dans ses discours les termes « impérialisme américain » et « missions chrétiennes ». 
Les officiels communistes de régions éloignées, soulignons-le une fois encore pour plusieurs illetrés et inexpérimentés, faisaient de l,excès de zèle, trouvant suspecte l,Église, tant romaine que protestante, hypnotique et mystérieuse. Le célibat des prêtres les déconcertait et il était même croyance populaire que les orphelinats dirigés par les sœurs étaient le lieu d,assassinats clandestins. Les évêques n,étaient pas épargnés, considérant des rapprochements ente les anciens empereurs à cause de l’utilisation de boutons et de « trônes », semblant défier l,autorité car ça n,était là que des choses réservées aux dynasties à l,époque. 
Avec l,appiu du Consulat Américain en 1948, on a demandé aux missionnaires de quitter les régions élpognées poru rejoindre des milieux urgains, craignant à la fois poru les missionnaires et poru les convertis qui subiraient un mauvais traitement de pariats et de réprimés. . Certaines régions de la chine, surtout au Nord et dans les grandes villes portuaires, étaient sécuritaires pour les étrangers car le gouvernemetn Mao n’osait pas faire de vagues au grand public. Timide, il préférait laisser le choix aux missionnaires plutôt que d,ordonner sans langage à deux langues que leurs stations ne ferment. L’état se disait que s,ils pouvaient subvenir aux besoins du peuple à la place de la religion, rôle qu,elle occuppait alors, les citoyens ne trouveraient alors aucun intérêt envers le christianisme et leur foi muterait en dévotion poru le parti. Mais patience… La guerre de corée a précipité les choses et les missionnaires furent expulsés bien avant que ce plan progressif et fastidieux n,aie même la chance de germer. 
Les chrétiens deprésentaient, selon ce que j,en comprends, une menace virtuelle pour les révolutionnaires tentant de s’implanter dans le cœur et dans le quotidien des habitants du pays. Une menace potentielle, car les avoirs monumentaux des ordres religieux représentait une somme colossalle d,argent, utilisable comme moyen de pression et d,autonomie. Un autre angle appliquable aussi est le fait que ces cellules religieuses étaient toutes autonomes dans un premier temps, ne dépendant pas des communistes pour le moisn du monde, et dans un deuxième temps agissaient comme une seule entité à conscience commune. Environ  4 000 missionnaires en sol chinois, des dizaines de milliers de fidéeles, l’expérience des sectes  leur avait appris par l,histoire qu,une entité aussi volumineuse, ayant gagné le cœur d’une bonne trnache de la population pouvait renverser le pouvoir et prendre le contrôle en un claquement de doigts s,il le décidait un jour. 

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