« China : repression against Falun gong unabated »
Texte de Ambre Combe
« China : repressionagainst Falungong unabated », New Report Documents Crackdown, FEBRUARY 8, 2002
« HumanRights Watch » (HRW) est une organisation internationale sans lien avec un état quelconque dont l’objectif est d’attirer l’attention de la communauté internationale sur des actes commis à l’encontre des droits humains dans le monde. Le poids de pus en plus important de cet organisme permet aux rapports qu’ils rédigent d’exercer une certaine pression sur les états accusés de ne pas faire assez pour ces droits par l’intervention d’autres acteurs politiques si besoin est.
Dans ce rapport publié en 2002, HRW s’insurge contre la mise en place de lois et de la réinterprétation de lois déjà existantes permettant au gouvernement chinois de classifier les membres du Falun gong, tout comme les tibétains et les ouigours, comme religion à éradiquer car elles seraient des menaces pour le gouvernement. D’après les recherches menées par HRW, le PCC irait encore plus loin en qualifiant les pratiquants du Falun gong de terroristes permettant de fait une escalade de la violence à l’égard desdits membres par les forces d’interventions armées (qui utilisent la torture si ils le jugent nécessaire), en plus de leur détention dans des pseudos centres de réhabilitations, voir même d’hôpitaux psychiatriques. Ce type de traitement s’applique à tous les pratiquants de religions n’étant pas reconnues par le gouvernement chinois et seules les pressions internationales permettent de réduire les peines de mort pour ce « crime ». Une des actions pour exercer une pression sur le gouvernement chinois afin de ‘inciter à revoir un certains nombres de lois est de demander aux entreprises internationales de boycotter les localités dans lesquelles les populations ayant des croyances religieuses considérées comme des sectes par le gouvernement.
Texte de Ambre Combe
« China : repressionagainst Falungong unabated », New Report Documents Crackdown, FEBRUARY 8, 2002
« HumanRights Watch » (HRW) est une organisation internationale sans lien avec un état quelconque dont l’objectif est d’attirer l’attention de la communauté internationale sur des actes commis à l’encontre des droits humains dans le monde. Le poids de pus en plus important de cet organisme permet aux rapports qu’ils rédigent d’exercer une certaine pression sur les états accusés de ne pas faire assez pour ces droits par l’intervention d’autres acteurs politiques si besoin est.
Dans ce rapport publié en 2002, HRW s’insurge contre la mise en place de lois et de la réinterprétation de lois déjà existantes permettant au gouvernement chinois de classifier les membres du Falun gong, tout comme les tibétains et les ouigours, comme religion à éradiquer car elles seraient des menaces pour le gouvernement. D’après les recherches menées par HRW, le PCC irait encore plus loin en qualifiant les pratiquants du Falun gong de terroristes permettant de fait une escalade de la violence à l’égard desdits membres par les forces d’interventions armées (qui utilisent la torture si ils le jugent nécessaire), en plus de leur détention dans des pseudos centres de réhabilitations, voir même d’hôpitaux psychiatriques. Ce type de traitement s’applique à tous les pratiquants de religions n’étant pas reconnues par le gouvernement chinois et seules les pressions internationales permettent de réduire les peines de mort pour ce « crime ». Une des actions pour exercer une pression sur le gouvernement chinois afin de ‘inciter à revoir un certains nombres de lois est de demander aux entreprises internationales de boycotter les localités dans lesquelles les populations ayant des croyances religieuses considérées comme des sectes par le gouvernement.
Ce rapport est d’autant plus intéressant qu’il se base sur une étude du gouvernement chinois lui même, qui tente d’expliquer en quoi le Falun gong est une religion dangereuse, ainsi que sur un témoignage d’une des victimes de cette politique. Le but de cette analyse critique est de démontrer à quel point les arguments et la politique religieuse en Chine sont ridicule et vont à l’encontre des droits humains, et de mettre en avant l’hypocrisie du gouvernement qui prône des valeurs de « bienveillance » mais dans les faits torture sa population.
Nous voyons bien ici à quel point le gouvernement chinois à du mal à canaliser ce mouvement et ses répercussions. En effet, en dépit des méthodes brutales employées par le gouvernement, la population continue toujours la pratique de ce quelle considère comme sa « religion ou méditation avancée », bien que de manière plus discrète. A cela d’ajoute le fait que le Falun gong en particulier a réussi à avoir des adeptes au-delà des frontières chinoises, amplifiant l’intérêt de la communauté internationale sur la capacité du gouvernement à gérer ce phénomène. La Chine veut accroitre son rayonnement sur la scène internationale et des actes de cette nature ne peut que ternir cette image, la question des droits humains restant un des points problèmes majeurs en Chine aujourd’hui encore.
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