samedi 2 février 2013

The Religious Question in Modern China

Texte d’Alex Renaud

The Religious Question in Modern China

Vincent Goossaert et David Palmer, The Religious Question in Modern China, ch. 3, "Model Religions for a Modern China: Christianity, Buddhism, and Religious Citizenship."

Vincent Goossaert est un historien spécialisé dans les sociétés et religions. Il est aussi directeur d’études de l’EPHE ainsi que le directeur adjoint du GSRL (le Groupe Sociétés, Religions, Laïcités). Il a enseigné au niveau universitaire à Genève, Hong Kong et Pékin dans le domaine de l’histoire sociale de la religion chinoise moderne. David Palmer, pour sa part, est un Canadien de Toronto qui a publié plusieurs œuvres sur les mouvements religieux de la Chine moderne. Il est membre du GSRL et du CECMC (Centre d’études de la Chine moderne et contemporaine). Il est diplômé avec sa thèse de doctorat sur la religion populaire de la Chine urbaine.

Le but du texte est de montré la modernisation que les religions en Chine ont dut apporter pour pouvoir être reconnu comme religion nationale ainsi que de montrer les points de vue de l’état sur la religion et leur recherche d’une religion parfaite. 


L’auteur commence par expliquer les liens entre la religion et l’état. Liens assez tendus vue le besoin de la religion de créer une cellule indépendante à l’état ce qui est hors de question pour l’état chinois. Après la description de la République Chrétienne Chinoise, où le christianisme était une religion prônée par plusieurs, surtout l’élite chinoise, vue son égalité des sexes, sa clémence envers les citoyens, son éducation avancé comme les universités. Avec cette réforme chrétienne en Chine, la barre à montée pour les autres religions et l’auteur décrit les changements apportés au christianisme, au bouddhisme, au taôisme, au confucianisme et à l’islam pour continuer d’être reconnu.  Donc, la création d’écoles et d’éducation dans chaque religions, la prise de conscience des missionnaires et de la propagande mondiale de la religion, comme le confucianisme qui essai d’étendre son influence en Europe et en Amérique ou le bouddhisme en Inde. Encore une fois, en se basant sur le christianisme et son influence écrasante dans la république chinoise, les religions vont utiliser les medias à leur portée pour faire de la propagande comme la création de journaux religieux. L’auteur fini par définir individuellement les actions de chaque religion pour regagner de l’influence.

Malgré le dédain de l’état face au désir d’indépendance d’une religion, ainsi que l’ancien attachement au taoïsme et au confucianisme, l’idée du christianisme semble en tenté plusieurs vue sa proximité des États-Unis et de son éducation venant de l’ouest assez avancé. Ce désir de se moderniser à la façon des États-Unis en a séduit plus d’un en Chine, d’où la prise du christianisme comme religion d’état dans la République Chrétienne Chinoise. Mais il ne semble avoir aucune religion réellement parfaite pour l’état chinois.

Ce texte montre que l’état chinois a un énervement face à la religion car il ne peut avoir une emprise complète sur celle-ci. La religion désirante d’indépendance à l’état pour exercer son jugement est ce qui apporte le plus grand dédain à l’état. L’auteur montre qu’il il y plusieurs collaboration entre l’état et la religion, surtout concernant le christianisme et la conversion de l’élite chinoise, mais reste que plusieurs chinois dans l’état on un désir nationaliste et de voir cette influence extérieur prendre une place si importante et demander l’indépendance de l’état est assez difficile à digérer pour eux. Je crois que ce sont les principales raisons du pourquoi la religion énerve l’état chinois.

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